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Invité Invité
| Sujet: the great escape⎟Gia Sam 22 Fév - 23:07 | |
| inconnu.
GEORGIA “GIA” OAKLEY this road is finally standing up to the skyAGE › 28 ans DATE ET LIEU DE NAISSANCE › 4 juin 1985 à Hugh Town (St Mary's, Isles of Scilly, UK). NATIONALITÉ › Anglaise. ÉTAT CIVIL › Célibataire. OCCUPATION › réponse ici. GROUPE › Seagull.
⚓ raise the sail.
Depuis quand vivez-vous sur St Mary's ?
J’ai vécu à St Mary’s toute mon enfance et toute mon adolescente. Mes nombreuses escapades avec mon frère lorsque nous étions petits m’ont permise de découvrir tous les coins et recoins de l’île, chaque plage, chaque grotte, chaque ruelle. J’ai passé la plupart de mes week-ends et vacances à travailler au Bishop & Wolfe, le pub le plus populaire de Hugh Town, appartenant à mon oncle ; je connais à peu près tout le monde, sur l’île, et tout le monde a fini par me connaître. Je fais partie du décor. Enfin, je faisais. J’ai quitté l’archipel il y a 8 ans pour aller étudier un semestre à l’étranger. Et on ne peut pas dire que je suis "vraiment" revenue depuis. C’est le mariage de mon frère qui me ramène ici, pour une durée encore indéterminée. Je viens en effet de découvrir que le monde continue de tourner quand je ne suis pas là : mon frère a rompue ses fiançailles, mes parents ne font plus semblant d’être amoureux comme au premier jour, et mon oncle a se bat avec les droits de succession de son bar. Welcome home.
Pourquoi vivez-vous sur l'île ?
Parce que ma famille ville ici, mes amis d’enfance vivent ici, toute une partie de ma vie tient dans les quelques km2 de cette île. Mais comme vous l’aurez compris, après avoir mis de la distance entre St Mary’s et moi, c’est le mariage de mon frère (finalement annulé) qui m’a fait revenir il y a quelques semaines. Je vis provisoirement dans la maison qu’il vient d’acquérir, avec lui. Provisoirement, car je ne sais pas ce qu’il va advenir des prochaines semaines : un travail (passionnant mais très peu gratifiant pour l’instant) m’attend à Rome, mais ma famille est ici, avec toutes les relations, histoires et problèmes que j’avais abandonné.
Appréciez-vous votre quotidien ici ?
Je dirais que St Mary’s, pour moi, s’apparente à une bonne vieille paire de jeans… Comme après une longue journée de shopping : on teste d’autres choses, cette robe nous permet de jouer avec notre image, cette jupe serait parfaite pour cet entretien mais vraiment trop inconfortable,… Et à la fin de l’essayage, quand tu remets ce pantalon, que tu as tellement porté qu’il est comme moulé sur ta silhouette, que tu enfiles et qui tombe parfaitement… Ce jean tu l’adores mais en même temps, tu es constamment en train de chercher autre chose. Enfin, je vais arrêter la métaphore ici, mais c’est exactement cette sensation que j’ai avec St Mary’s. C’était chez moi. Ce sera toujours un peu chez moi. Je connais tous les endroits, toutes les personnes. Mais en même temps, je ne vois pas y vivre à plus long terme. C’est mon passé, pas mon avenir. Je veux et je dois voir autre chose. Je suis faite pour vivre en mouvement, et cette ile est définitivement ancrée dans un espace temps… figé. Ca ne pourra jamais être plus qu’une parenthèse pour moi, maintenant, je crois. J’aime le fait de connaître chaque habitant et de pouvoir lui demander des nouvelles de sa famille, mais l’anonymat des grandes villes est libérateur. J’adore pouvoir traverser l’île à pieds. Mais je vais finir par tourner comme un lion en cage. C’est réconfortant de voir que rien à changer : M. Griffiths tient toujours la pharmacie, Sophia et Mark qui se sont rencontrés à l’école primaire sont toujours ensemble et attendent leur premier enfant, Mrs. Moore râle toujours contre les touristes… C’est réconfortant, mais également angoissant. Si avec tout ça vous avez réussi à saisir quel relation j’entretenais avec mon île, c’est parfait, parce que moi je cherche encore.
Quelle est votre place parmi les habitants ?
Plus jeune, je faisais vraiment partie du décor de Hugh Town : on me connaissait comme la nièce du propriétaire du Bishop & Wolfe, le pub le plus fréquenté du village, qui venait aider pour le service dès que je fus en âge de tenir un plateau, puis derrière le bar dès que je fus en âge de servir de l’alcool (…du moins selon les propres préceptes de son oncle, pas nécessairement de la législation anglaise). Très présente dans ce qui s’apparentait au centre névralgique de l’île, j’étais au courant de tout ce qui se passait : le fils de MacMillan avait eu son diplôme, celui de Jeffreys s’était de nouveau fait prendre à crocheter la porte d’une voiture, Lucy hésitait à reprendre la boutique de sa maman, Gallagher avait encore été retrouvé ivre sur la plage… Je savais tout, entendais tout, voyais tout. Ayant grandit au milieu des habitués, je savais qu’ils avaient tous un attachement pour moi et ma famille, je me faisais taquinait avec bienveillance, on m’enseignait des grands principes de vie (ne jamais mélanger un alcool fort avec du vin !) ainsi que toutes sortes de mythes et légendes liés à St Mary’s. Mon départ n’a pas surpris grand monde, puisque je n’avais jamais caché mon envie de voyager. On demanda souvent de mes nouvelles à mon oncle, au pub, ou à mes parents. « Gia est toujours en Espagne ? Ah bon, Prague ? Eh bien les voyages forment la jeunesse comme on dit ! » Les nouvelles se sont fait plus rares et puis les gens ont fini par ne plus demander, ou simplement par politesse. Mon retour a ravis de nombreux visage, mais beaucoup se sont montré froids à mon égard. Après tout, j’étais une fille d’ici qui était parti, je ne méritais peut-être plus d’être traitée comme telle.
Quels lieux aimez-vous fréquenter ?
Le Bishop & Wolfe est le premier endroit où je me suis rendue après avoir remis les pieds à St Mary’s il y a quelque jour. Pour voir mon cousin, déjà, qui a repris le pub de son père (malgré des démêlés compliqués avec le notaire), et parce que c’est un lieu emblématique dans l’île et dans mon cœur. L’odeur ne change pas, le velours vers élimé des banquettes non plus, ni même le menu, que je connais sur le bout des doigts mais dont les prix ont probablement subit l’inflation eux aussi. La plage du centre nautique, le Sailing Center, à Little Porth, fait également partie de mes endroits préférés : Callum, mon frère, y prenait des cours de voile tous les samedi après-midi quand il était petit, puis en encadra lorsqu’il fut en âge de le faire. Je l’accompagnais souvent, restant parfois dans l’eau, souvent sur le sable. A l’adolescence, je ne compte plus le nombre de veillées qui s’y déroulèrent, arrosées de bière (puis d’autres choses). Dans la même veine, le vieux phare de l’île est également chargé de souvenirs : comme la moitié des adolescents de St Mary’s, c’est au sommet de l’édifice que j’ai eu mon premier baiser. Avec William Bennet, le fils du dentiste, qui sentait toujours le savon. C’est aussi durant une escapade nocturne, à Halloween, avec Callum et des amis, que je me suis cassée la clavicule en tombant des les escaliers. A trop vouloir se faire peur, j’ai voulu redescendre les marches trop vite. Enfin, le St Mary’s Airport a une place particulière dans mes souvenirs, quoique plus récents. Durant les dernières années, je ne venais rendre visite à ma famille qu’une semaine par an, pendant les fêtes de Noël, et je ne compte plus les retrouvailles/adieux tantôt glacials, tantôt douloureux, tantôt chaleureux, qui s’y sont déroulés. Ce tout petit aéroport est vraiment hors du temps, et j’adorais observer les gens qui y transitait, capable de différenciés les étrangers des habitants, et imaginant quels liens pouvaient les lier entre eux ou à l’île. ⚓ the great escape.
PSEUDO/PRÉNOM › Léa, (in)connue sous les pseudos Patchulea, Patchoulie et autres dérivés. PRÉSENTATION PERSONNELLE › Bonjour, moi c'est Léa ("Bonjouuuur Léa"), j'ai 20 ans, je fais des études d'archi à Strasbourg et de ce fait je pourrais me nourrir exclusivement de tartes flambées si la situation le nécessitait (je sais pas moi, un genre d'apocalypse qui tuerait tout sauf le fromage blanc, les lardons et le gruyère en gros) et je pratique couramment le binge watching de séries américaines. Sinon j'aime pas la salade, chui Lion 2ème décan et j'assume pas du tout d'avoir une chanson de Miley Cyrus sur mon iPod. AVATAR › Emmy Rossum, la plus jolie et la plus talentueuse et tout et tout. MOT DE LA FIN › En fait je plaisantais pour Miley Cyrus hein, j'écoute pas du tout.
Dernière édition par Georgia Oakley le Dim 23 Fév - 16:04, édité 7 fois |
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| Sujet: Re: the great escape⎟Gia Sam 22 Fév - 23:08 | |
| ⚓ shores of lunacy.
« RÉDACTION N°5 Décrivez une personne, réelle ou fictive, que vous admirez.Callum Oakley, 9 ans Georgia Oakley est ma sœur jumelle, ce qui veut dire que nous sommes nés le même jour de la même année parce que nous avons grandis en même temps dans le ventre de notre maman. Elle a donc 18 minutes de plus que mois. J’ai lu que parfois, quand plusieurs bébés se développaient en même temps, un d’entre eux pouvaient en manger un autre, le plus faible. Juste comme ça. Si j’avais su je l’aurais mangé quand j’en avais l’occasion, parce que Georgia est quelqu’un de très pénible et elle m’embête tout le temps. Mais je me serais sûrement ennuyé sans elle et j’aime bien quand on se dispute, parce qu’on sait que c’est pour de faux. Elle préfère qu’on l’appelle Gia parce que ‘Georgia’ c’est un prénom de mamie (de notre arrière grand-mère, en fait). Elle n’aime pas non plus qu’on la traite de fille, quand maman veut lui faire porter une robe, quand je la bats à la course ou que papa la gronde. Elle aime bien le vent sur la plage, regarder des reportages sur les requins avec papa, le pudding a la vanille et faire semblant de parler une autre langue. Je l’admire parce qu’elle a donner un coup de poing dans le nez de Nicholas mais aussi parce qu’elle pense toujours la même chose que moi au même moment. Et aussi parce qu’elle veut être présidente du monde plus tard. »
Pour cette même rédaction, Georgia choisi de décrire son frère mais lui assura qu’elle avait pris Mulan.
* * * Le bruit du vent et des vagues au loin s’engouffraient dans les ruelles désormais sombres. Le température était presque douce, mais on sentait déjà la fin de l’été. Le pub de Hugh Town était comme à l’accoutumé encore bondé à cette heure-ci, mais ce soir les cris semblaient plus joyeux et la musique plus forte. C’était le dernier jour de la saison : la rentrée des classes était dans deux jours, les touristes s’étaient pour la plupart volatilisés, et de ce fait, une soirée spéciale s’annonçait. Ce n’était pas le première de Gia : elle travaillait dans le pub de son oncle depuis quelques années déjà, elle en avait vu des allers et venues, elle en avait entendues des bêtises (mais aussi des paroles pleines de bon sens, parfois). Mais cette soirée avait une saveur différente, une saveur de fin, de vraie fin. Elle qui n’avait jamais connu autre chose que son île natale et Bristol (où elle passait la moitié de la semaine pour ses études de communication évènementielle – l’autre moitié consistant justement à travailler dans le pub de son oncle pour gagner tout juste de quoi payer son hébergement sur place et ses trajets). Elle qui faisait partie des décors de Hugh Town et même de tout St Mary’s. Elle qui venait pourtant d’obtenir un financement de son université pour partir étudier un an à l’étranger. Georgia avait toujours nourri l’envie de voir le Monde et ne l’avait jamais cachée. Tout le monde savait que cette fille était une débrouillarde, une déterminée. Mais curieusement, personne n’était préparé à la voir partir.
Le petit discours qu’elle avait mentalement préparé devait justement annoncer son départ imminent pour Madrid. Seule sa famille était au courant pour le moment, mais les habitués du pub, qui l’avaient vu grandir et se faire une place parmi eux, méritaient eux aussi d’être mis au courant. Avec un toast en bonne et due forme, si déjà.
Connue pour son humour pince-sans-rire, c’est tout naturellement qu’elle avait débuté avec une petite touche de sarcasme destiné aux clients du pub. Elle les avait remercié d’avoir fait tourné l’économie familiale, et de faire vivre le pub – c’est pas comme si vous aviez ailleurs où aller n’est-ce pas ! Très vite, parce qu’elle n’était pas du genre à bavasser et à faire pleurer dans les chaumières, elle leur avait annoncer son départ. S’en était suivi des acclamations chaleureuses, 12 clients avaient proposé de payer une tournée générale, 7 avaient réclamés une carte postale et 3 avaient déjà passé des commandes de bière espagnole. Son oncle lui avait adressé un petit hochement de tête entendu depuis l’arrière du bar – il n’était pas du genre expansif, et Elizabeth, la deuxième serveuse, avait ouvert une bouteille de champagne - ou plutôt une sorte de mousseux générique, mais c’était le geste qui comptait.
Ce soir là, elle avait essuyé quelques hommages et confidences alcoolisés (mais bienveillants) des habitués du Bishop & Wolfe, et voir à quel point elle était apprécié l’avait énormément touché. Elle savait aussi qu’après son départ, tout ne serait jamais plus exactement pareil, et tout en lui serrant le cœur, cela l’avait conforté dans sa décision de partir. Comme si, au fond d’elle, elle savait qu’en restant sur l’île un peu plus longtemps, elle ne saurait plus jamais comment la quitter.
* * *
Gia vient d'entamer la conversation (01:07).
Gia dit (01:07) : JOYEUX ANNIVERSAIRE BRANLEUR Callum dit (01:08) : TOI MÊME ATTARDÉE Gia dit (01:08) : Arrête où je vais le dire à maman. Callum dit (01:08) : Fais donc ça ouais haha ! Elle attend ton coup de fil d’ailleurs, elle ose pas appeler parce qu’elle comprend rien à « ces numéros internationales bizarres » … Alors Rome ? Gia dit (01:10) : La coloc se présente bien, même si je soupçonne un des gars d’être un vendeur de coke. Ou alors c’est juste sa personnalité, jsais pas. Cette ville est géniale, tu adorerai je pense. Enfin si tu fermes les yeux : le soleil, les jolies filles et surtout LES GLACES sérieusement ! Callum dit (01:11) : Tu sais que mon cœur est pris………… je ne pourrais jamais faire d’infidélités à la glace à la pistache de maman ! Gia dit (01:13) : Tiens à ce propos comment ça va avec Rochelle ? J’espère que t’es toujours avec elle et surtout qu’elle a le sens de l’humour parce que je n’ai pas pu m’empêcher de mettre des trucs vraiment douteux dans ton colis d’anniversaire… Tu me connais j’ai tout fait pour rester digne et classe mais… Callum dit (01:14): Je me roule par terre de rire à cet instant précis. Oui on est toujours ensemble et ça se passe vraiment bien. Vraiment vraiment bien ! Gia dit (01:14) : … ?!?! Callum dit (01:14) : Quoi ? Gia dit (01:15) : Elle est comment ? Tu l’as payé chère j’espère ? Callum dit (01:15) : … Callum dit (01:15) : J’t’ai déjà parlé de Rochelle et OUI je sais elle est trop bien pour moi mais Gia dit (01:16) : LA BAGUE ! Tu lui as acheté une bague de fiançailles et je suis sûre que tu t’es ruiné, en plus. Callum dit (01:17) : Je pensais pas que notre télépathie avait une si grande portée (et ouais elle m’a coûté un bras et sérieusement j’envisage d’aller squatter sous une table du Wolfe pour me refaire une santé financière) Gia dit (01:19) : MAIS T’ES SÉRIEUX PUTAIN ?! OÙ ? QUAND ? COMMENT ? J’aimerais te faire un câlin tellement fort que je te briserai la nuque la tout de suite !!! Callum dit (01:19) : (Charmant) je ne te dirais rien parce que tu serais encore capable de faire tout foirer à plusieurs milliers de kilomètres ! Gia dit (01:20) : Pas coool. Si elle dit oui (et elle le dira parce que t’es le deuxième plus mignon de la famille), je veux le savoir dans la minute pour pouvoir m’organiser et venir faire de votre mariage le jour le plus magique, le plus étrange et le plus fou de votre vie ! Callum dit (01:20) : Parce que tu crois qu’on va t’inviter en plus ? Gia dit (01:21) : Tu sais à quel point j’aime les mariages, c’est ma seule occasion de mettre des chapeaux laids ! Callum dit (01:22): Je devrais dire à papa d’organiser des mariages alors, ça te ferait venir plus souvent… Gia dit (01:24) : … Callum dit (01:25) : D’ailleurs maman comptait organiser un truc la veille de Noël, tu penses pouvoir prendre un vol plus tôt ? Gia dit (01:28) : Je sais même pas encore si je vais pouvoir venir à Noël, je t’avais expliqué pour le projet sur lequel on bosse Callum dit (01:28) : Sérieusement ? Attends tu veux me faire croire qu’ils fêtent pas Noël à Rome et qu’ils t’empêcheraient de rentrer voir ta famille pour les fêtes ? Je suis sûre que le Pape laisserait pas faire ça dans sa propre ville ! Gia dit (01:29) : C’est pas moi qui décide et je crois que le Pape à d’autres préoccupations que la conférence qu’on doit organiser en Afrique du Sud… c’est dans 4 mois et y a des princes et des ministres qui vont venir, alors tu te doutes bien que mon Noël c’est pas la priorité de mon boss Callum (01:32) : Ouais c’est clair c’est juste ta famille que t’as pas vu depuis presque un an après tout, on s’en fout. Gia dit (01:34) : …tu viens pas juste de me balancer ça… Callum dit (01:34) : Fais ce que t’as à faire, je tâcherai de te prévenir assez tôt si on se marie pour tu puisses organiser ton agenda. Gia dit (01:35) : T’es vraiment pas juste là. Callum dit (01:36) : De toute façon je dois y aller là, j’ai un truc à faire. Callum dit (01:36) : Ah et j’ai mis un fromage périmé dans ton colis d’anniversaire donc je sais pas si il passera la douane… bon anniversaire encore. Bonne nuit
Callum vient de se déconnecter.
* * *
* * *
Six choses que Georgia n'avouera jamais… Elle a toujours pris un malin plaisir à faire le tri parmi les prétendantes de son frère jumeau, et ce depuis le jardin d’enfant (lorsqu’elle a pris une paire de ciseau qui trainait et refait la coupe de cette peste de Mary en plein atelier pâte à sel) jusqu’au lycée (la rumeur que Charlotte avait la chlamydia ? ça vient d’elle). Ca ne l’a pas empêché d’être très amie avec certaines autres petites copines. Rochelle est la à n’avoir jamais subit un « contrôle Georgia ». Et voilà où ça mène… !
Elle n’a jamais été amoureuse. Enfin, elle pense ne jamais l’avoir été. Et quand on l’est, on sait. Non ?
Sa fracture au poignet ? Ce n’était pas une chute dans les escaliers mais un coup de poing ridicule donné dans un meuble après s’être disputé avec son père (ah, l’adolescence…).
Lorsque son frère et elle avaient 7 ans, leur mère a failli quitter leur père. Tout est finalement rentré dans l’ordre mais Gia ne lui a jamais pardonné d’avoir ne serait-ce que songer à abandonner leur famille.
Son premier mois en Espagne a été horrible et chaque jour, elle résistait à l'envie d’appeler sa famille chaque jour.
Elle entretien actuellement une liaison avec son employeur (marié, par ailleurs).
Dernière édition par Georgia Oakley le Mar 11 Mar - 23:06, édité 8 fois |
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| Sujet: Re: the great escape⎟Gia Sam 22 Fév - 23:14 | |
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| Sujet: Re: the great escape⎟Gia Sam 22 Fév - 23:55 | |
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| Sujet: Re: the great escape⎟Gia Mar 11 Mar - 23:15 | |
| BELLE GOSSE Maintenant tu peux venir flooder avec moi Et faut qu'on se fasse un sujet très vite ! Ah et bien entendu, tu es validée |
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| Sujet: Re: the great escape⎟Gia Mer 12 Mar - 0:40 | |
| Bienvenue Léa (je me permets ) |
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| Sujet: Re: the great escape⎟Gia | |
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